mercredi 9 décembre 2009

Christian Lévesque devient le nouveau président de l’ADQ

(Québec, 8 décembre 2009) Monsieur Gérard Deltell, député de Chauveau et chef de l’Action démocratique du Québec, est heureux d’annoncer que M. Christian Lévesque est devenu hier soir le nouveau président de l’ADQ. Sa nomination a été entérinée lors d’une réunion du conseil exécutif national.
« Christian Lévesque est avantageusement connu des membres de l’ADQ. Ex-député de Lévis, il s’est démarqué comme candidat à la direction de notre parti par sa capacité à mettre en place une équipe aux quatre coins du Québec, de recruter de nouveaux membres et d’organiser une campagne efficace. Je suis heureux de pouvoir compter sur son talent pour rebâtir l’ADQ », a déclaré le chef adéquiste.

Pour sa part, Christian Lévesque est fier de joindre l’équipe de Gérard Deltell et de servir l’ADQ comme président. « Gérard Deltell est un rassembleur extraordinaire. Au cours des dernières semaines, on sent véritablement un vent de fraîcheur à l’ADQ, et notre nouveau chef n’y est pas étranger. J’ai l’intention de tout mettre en œuvre pour appuyer l’équipe dans son travail et préparer les troupes adéquistes pour les prochaines élections générales », a soutenu pour sa part le nouveau président.

dimanche 6 décembre 2009

« Un gouvernement rongé par les scandales » -Gérard Deltell



Bilan de la session parlementaire

(Québec, 4 décembre 2009) Le chef de l’Action démocratique du Québec, M. Gérard Deltell, et la leader parlementaire, Mme Sylvie Roy, ont dressé un portrait sombre de la dernière session parlementaire pour le gouvernement de Jean Charest. « Jour après jour, les Québécois constatent un triste spectacle, celui d’un gouvernement rongé par les scandales et qui refuse de rendre des comptes. Nul doute qu’autour de la dinde, les Québécois discuteront de la déroute du Parti libéral, en particulier dans le dossier de la construction », a déclaré le chef adéquiste
« Le refus obstiné des libéraux de tenir une enquête publique sur le milieu de la construction discrédite toute l’action gouvernementale. Qu’est-ce que le Parti libéral a tant à se reprocher pour éviter la tenue de cette enquête réclamée par plus de 80 % de la population?», s’est questionnée pour sa part Sylvie Roy.

L’ADQ à la défense des intérêts des Québécois

Au cours de la session, les députés de l’Action démocratique du Québec ont porté leurs interventions sur trois enjeux principaux : une enquête publique dans le milieu de la construction, l’état des finances publiques et l’identité nationale. « Tout au cours de la session parlementaire, les Québécois ont pu retrouver dans nos interventions une défense farouche de leur argent et d’une saine gestion des fonds publics » a indiqué Gérard Deltell
Construction : Que fait le grand bâtisseur?

« Le 7 avril dernier, alors que j’ai été la première à réclamer une enquête publique sur le milieu de la construction, je savais que les Québécois allaient nous suivre là-dedans. Péquistes et libéraux ont fermé les yeux trop longtemps sur ce qui se passe dans ce secteur hautement stratégique de notre économie. Il est maintenant temps de faire un grand ménage, et seule une enquête publique peut mettre au jour ce système malsain », a prétendu la leader parlementaire adéquiste.

Finances : Tout droit dans le mur!

Au cours des dernières semaines, l’ADQ a également milité farouchement pour une réduction de la taille de l’État et pour que le gouvernement donne l’exemple en faisant le ménage dans ses propres dépenses.

« L’ADQ a été très proactive sur la question des finances publiques. Nous avons proposé au gouvernement de déposer un plan de réduction des dépenses et d’entamer une Révision générale des politiques publiques dans le but de réduire les dépenses et d’améliorer l’efficacité des services publics. Malheureusement, les libéraux préfèrent la voie facile en augmentant les tarifs des services publics et la TVQ plutôt qu’en se serrant la ceinture », de dire Gérard Deltell.
Identité : La troisième prise du PLQ

Une fois de plus, le gouvernement de Jean Charest a perdu la face sur la question identitaire. En effet, le renvoi de son projet de loi 16 sur les accommodements aux calendes grecques est le symbole de son échec à défendre l’identité québécoise.

« Pour notre formation politique, il est clair que le gouvernement du Québec a la responsabilité de définir la laïcité de l’état. Le projet de loi de la ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles évitait la question, et il faudra qu’un jour ou l’autre, le gouvernement libéral accepte de jouer pleinement son rôle et réponde aux attentes de la population », a conclu le chef de l’ADQ